2 avril 2020
Un jour de mars gris comme la crise du coronavirus qui sévit et comme le confinement général qui s’annonce, des rues quasiment désertes, une cité médiévale endormie et soudain, une vieille boutique dont on ne sait si elle est ouverte ou si elle est en plein déménagement tant elle semble encombrée. Sur le trottoir, des tables sur lesquelles s’empilent des monceaux de livres. Des petits, des gros, des récents, des plus anciens. Des revues et des BD aussi. Le tout […]